Ephemeral Intersects, Tecla, 2016

Ephemeral Intersects, Tecla,  2016 – 100 * 80 cm, Tirage argentique sur papier FUJI DP II mat – Edition 5 + 2AP

Le titre se réfère à un livre de Italo Calvino « Les villes invisibles », qui à travers le récit de plusieurs villes inexistantes, relate d’une manière poétique des caractères communs/universels de la vie dans l’espace urbain. Tecla est le nom d’une de ces villes.

„Celui qui arrive à Tecla voit peu de choses de la ville, derrière les palissades de planches, les abris en toile de sac, les échafaudages, les armatures métalliques, les ponts de bois suspendus à des cordes ou soutenus par des chevalets, les échelles, les treillis. Alors il demande : 

– Pourquoi la construction de Tecla dure-t-elle si longtemps ? 

Et les habitants, sans arrêter de hisser des seaux, de jouer des fils à plomb, de promener vers le haut et le bas de longs pinceaux, répondent :
– Pour que ne commence pas la destruction.“

Italo Calvino, Les Villes Invisibles 

L’installation a été faite à partir d’une ancienne carte trouvée sur place, et est un hommage au livre de Calvino, les fils symbolisent les différentes identités et la position d’enclave de la ville. À chaque extrémité du fll fut dessiné un extrait d’une des copies des plans trouvés de la ville.

 

 

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